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Co-responsibility in waste treatments and recycling/repairing/reusing

The issue of waste production in Europe is a growing one. Statistics indicate that the European community generates around 2,000 million tonnes of waste each year, of which over 40 million tonnes is classified as hazardous. Over the last six years, the amount of waste generated grew by 10 % a year.

Europe is not only generating vast amounts of waste however, it is at the same time wasting rich and valuable resources – material and non-material – which encompass food, people, knowledge & skills, housing, public spaces, everyday items/commodities, and more. This is at a time when unemployment levels are unsustainably high, when people are going hungry or have been forced to live on the streets.

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Photo courtesy Space Pirate Queen CC2.0 BY-SA

The issue of waste therefore, is multi-dimensional and needs to be approached as thus: while it is imperative that people “reduce, re-use & recycle” waste, it is also important to consider new, alternative ways in which (unused or less used) resources could be better utilised, thus avoiding them being waste.

Éléments essentiels

Au sein de la Plateforme Multiacteurs locale sont discutées les modalités de traitement et réutilisation systématique des déchets. Le déchet est pris ici dans un sens large, incluant tout objet matériel qui n'est plus utilisé (y compris donc des vêtements, médicaments, etc. dont ceux qui les possède n'ont plus l'usage). Les règles suivantes sont débattues et accordées le plus largement possible.

Réduction de la production de déchets

La première règle de coresponsabilité dans le traitement des déchets est la réduction de leur volume. Pour parvenir à ce changement d'attitude la réflexion sur le sens du bien-être de tous avec les citoyens (deuxième cycle de SPIRAL) est essentielle.

Priorité dans le retraitement

La deuxième règle est le respect de l'ordre de priorité de traitement des déchets

Un déchet est en priorité: 1) remis en circulation auprès d'autres utilisateurs; 2) restauré ou réparé si c'est encore possible, avant sa remise en circulation ; 3) transformé pour une utilisation différente 4) démonté puis décomposé en matières de base recyclées : verre, plastique, bois, etc. ; 5) utilisé pour produire du compost 6) utilisé pour la production d’énergie (méthane, centrales thermiques à cycle combiné).

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Photo courtesy Joël Obrecht CC2.0 BY-SA

Pour la mise en place de cette règle plusieurs "cercles de traitements" sont mis en place:

1Le premier cercle est celui des collecteurs/redistributeurs d'objets non utilisés, soit spécialisés (voir l'exemple du Magasin des vêtements de l'association Caixias au Portugal ou les pharmacies sociales en Grèce pour les médicaments) soit non spécialisés (voir l'exemple du Magasin pour rien de Mulhouse en France). Ces collecteurs/ redistributeurs reçoivent les objets non utilisés, les remettent en circulation aux personnes qui ont besoin ou les envoie au deuxième cercle des réparateurs, voire le troisième des trieurs/recycleurs. Il est possible d'assurer l'équilibre financier, incluant la création d'un ou plusieurs emplois, en revendant les objets à un prix symbolique (voir l'exemple de l'association Caxias qui revend les habits à 1€) ou à un prix plus élevé permettant d'inclure les coûts de réparation des objets qui sont passés par le deuxième cercle.

2Le deuxième cercle est celui des réparateurs. Outre le fait qu'ils réparent les objets qu'ils reçoivent ceux-ci aident les habitants à réparer eux-mêmes leurs objets et à apprendre à le faire, en participant aux ateliers de réparation (voir l’exemple des Cafés repair)

3Le troisième cercle est celui des trieurs. Un premier tri entre matière organique, emballage plastiques, verre, métal, gros objets est réalisé par les habitants pour tous les déchets qu'ils ne peuvent envoyer au premier ou deuxième cercle. A la réception des déchets en ressourcerie un nouveau tri est réalisé entre objets éventuellement réparables et envoyés au cercle des réparateurs, matière organique pour composts et tout le reste. Celui-ci est proposé à des associations pour leur réutilisation (voir le projet remix). S’ils ne sont pas repris ils sont démontés pour récupérer les pièces récupérables (pièces de voiture, petites pièces métalliques, visses, écrous, etc.) puis décomposés en matières recyclables et matière génératrice d’énergies. Les pièces récupérables sont stockées en ressourcerie et mises à disposition des réparateurs et du public en général pour des activités de réparation ou bricolage.

4Le quatrième cercle est celui des recycleurs. Il s'agit d'unités de traitement relativement importantes et spécialisées

Le cinquième cercle est celui des composteurs ; le compostage peut être organisé collectivement au niveau d'un quartier pour un jardin partagé (voir exemples...)

6Le sixième cercle est celui des producteurs d'énergie (méthane ou électricité et chaleurs par combustion en centrales thermiques à cycle combiné)

Zero Desperdício, Portugal

Une initiative passionnante de redistribution de nourriture non consommée auprès des plus démunis. Pour rendre ceci possible, les membres de Zero Desperdício ont travaillé en amont, avec les autorités publiques portugaises, afin d'obtenir des procédures précises pour pouvoir redistribuer la nourriture non consommée en accord avec les règles sanitaires.

Emballages réutilisables et recyclables

Troisième règle: tous les produits achetés ont des emballages facilement réutilisables et recyclables. Une charte est élaborée dans ce sens, signée par tous les producteurs. Une assistance technique est mise en place pour que tous les producteurs y parviennent.

Communication information

Un système de communication est instauré pour que tous les acteurs et habitants comprennent le fonctionnement du tout et puissent mieux y participer.

Emplois en insertion

Tous les emplois créés sont assurés en priorité par des emplois d’insertion (entreprises d’insertion) puis d’installation des demandeurs d'emploi en difficulté d'obtenir un emploi.

Inventary/Inventaire

De todo o lixo produzido, cerca de 65% trata matéria orgânica, na sua generalidade restos de alimentos que se perdem na confecção ou que são rejeitados à partida por diversas questões. Cerca de 30% é composto pelos chamados materiais recicláveis, papel, embalagens cartonadas de longa duração, vidros, plásticos, roupas e metais. A realidade demonstra que apenas 5% do ‘lixo’ produzido, daquilo que rejeitamos como já não fazendo parte das nossas vidas e da nossa responsabilidade, é que pode ser considerado e designado como lixo ou refugo. São na sua generalidade materiais perigosos ou contaminados, não passíveis de reciclagem, reutilização ou compostagem.

a) Reutilização de matérias de desperdício fabril Para além do desperdício de pequena ou média escala, que provém das nossas casas e do comércio, existe um outro, de maior dimensão, que provém da parte de produção de dado produto. As empresas de fabrico não têm, muitas das vezes, uma solução para dar aos desperdícios que acontecem do processo de fabricação. Na maioria das situações, o preço de venda do produto tem agregado o custo do que não se aproveita, do que não pode ser aproveitado por qualquer razão. Não se torna interessante, para quem produz, arranjar uma solução para todo aquele material que não segue o destino inicialmente esperado. Ele representa, por um lado um custo, e raras vezes é tido como uma possibilidade de ganho, mas de um ganho diferenciado. Há projetos a nascer, um pouco por todo mundo, que aproveitam esses desperdícios, - na verdade são por vezes um verdadeiro auxílio para determinadas fábricas porque apresentam uma solução de escoamento- os transformam, de forma a lhe darem outra utilidade.

Remix project Este projeto, de negócio social auto-sustentável, tem como objectivo demonstrar que o design pode ser acessível a todos e deve ter uma componente de sustentação por parte do(s) criador(es). Da sua filosofia, um artista ou criativo, deve poder expressar a sua arte, mas de uma forma sustentável também, com um carácter de utilidade, socialmente responsável e ainda assim, com a total liberdade de criação, impondo-se desafios concretos, com respostas acessíveis. O contacto parte geralmente por parte de grandes empesas ou fábricas, que detêm um espólio de desperdício que advém do fabrico de um produto, e para o qual não encontram um solução viável. Depois de tomado esse conhecimento, estabelecem-se protocolos para uso desses materiais em excesso, ou, de certa forma estragados/inviáveis, e contactam-se artistas consagrados para encontrarem uma solução que se concretize na concepção e criação de uma peça de design. Mais tarde, esse protótipo é analisado nas oficinas de trabalho do REMIX, instalados em bairros e zonas de prioridade de intervenção social da cidade de Lisboa. Nessas oficinas trabalham moradores desses bairros, de qualquer idade, que se mostrem interessados, empenhados e que possuam as habilidades e a competências necessárias para pôr em execução o trabalho de execução da peça criada. São geralmente pessoas que não encontram emprego no mercado de trabalho, por variadíssimas razões. As peças são depois publicitadas e postas à venda em lojas, a um preço relativamente acessível, mas com o valor artístico atribuído. Tacos velhos de madeira para soalho, são transformados em bancos. Garrafões de água em vasos para plantas e casas de pássaros. Restos de materiais de bancadas indústrias passam a amplificadores de música. Um novo destino. Diminuição do desperdício quase a zero.

Talia Esta é uma associação de promoção cultural com sede em Itália. A ideia é também a de criar uma série de peças artísticas a partir de materiais reciclados ou materiais usados que, aparentemente, já não têm uma utilidade, sejam eles de plástico, madeiras, tecidos ou outros. A criação destes objetos aparece da concretização de cariados workshops e outras atividades que promovam aspetos artísticos e o aproveitamento de recursos e matérias já existentes. Sediada em Palermo, na Itália, a Associação Talia, conseguiu um espaço onde concretiza as várias atividades propostas em assembleia pelos seus fundadores. Para poder ser acedida por um grupo alargado, e uma vez que alguns grupos de interessados não têm possibilidade de comportar economicamente a participação nas ações, é possível não se pagar nada, por exemplo, se for estudante. A ideia resume-se a levar grupos de crianças, jovens e adultos, a entenderem o valor dos recursos já existentes e a possibilidade de transformação dos mesmos, e da possibilidade de ganharem uma nova vida, uma nova possibilidade de utilização enquanto objetos do quotidiano. Para os mais novos e para os desempregados, esta atividade permite também que adquiram mais conhecimentos e competências, de forma a poderem desenvolver atividades fora da sua área de conhecimentos. Os materiais obtidos podem ser vendidos e expostos em feiras e mercados, de onde se obtém algum do dinheiro necessário à sustentabilidade da Associação e à realização semanal das suas atividades. Esta ideia permite não só o aproveitamento de recursos já existentes, através da sua transformação a um preço muito baixo, como a aquisição de competências em termos de recursos humanos e sobretudo na promoção da capacidade de transformação dos objetos, permitindo que estes adquiram um valor que, inicial e aparentemente, não tinham.

Cicloficina dos Anjos Esta associação, nascida em Lisboa, à semelhança de várias outras que se encontram hoje espalhadas por várias cidades da Europa e dos EUA, para além da sua função social, de valores mais humanos para as grandes cidades – pensa-se numa cidade mais para as pessoas, menos poluída, mais verde e menos dependente de combustíveis que consomem o planeta -, tem também uma enorme componente de reutilização de materiais já existentes. A sua função não se resume a ajudar os ciclistas a aprender como arranjar a sua bicicleta, como seu veículo de transporte diário, nem tão pouco de ensinar a usar a bicicleta na cidade ou promover o seu uso diário no sentido de encontrar uma melhor qualidade de vida. O espaço que ocupam, está geralmente apetrechado de material que deixou de ser usado e que se tornou o desperdício de uma fábrica de bicicletas – com modelos em desuso -, de pessoas individuais que já não querem aquela bicicleta e adquiriram, eventualmente, uma outra. Nestes espaços de encontro há geralmente uma espécie de armazém com um espólio considerável. Esses materiais, geralmente oferecidos, ou comprados a muito baixo custo, servem para consertar novas bicicletas, construir novas bicicletas, etc. Matéria que parecia ser lixo, adquire a possibilidade de uma nova vida. As bicicletas para crianças, sobretudo, como deixam de ter o tamanho desejado, são muitas vezes arranjadas e postas a circular por outras crianças. Podem ser dadas ou vendidas a preços simbólicos, como forma de garantir a continuação da existência da associação. A associação é composta por uma lista de voluntários, que se reúne num espaço cedido para o efeito, e se reúne semanalmente para atender qualquer ciclista que apareça a precisar de ajuda. Todas as assistências técnicas prestadas têm como objectivo dotar o indivíduo da capacidade de ser auto-suficiente, de reparar o que precisa e pode ser reparado, e são registadas por ordem de chagada e prioridade. Não há valores envolvidos nesta operação. (see as well Ciclofficina, La Granata, Padua, Italy)

Bikesurfberlin Um outro modelo que envolve igualmente bicicletas, mas com um conceito totalmente distinto, é o projeto BikeSurfBerlin, que decorre do mesmo espírito de viajar à volta do mundo sem gastos financeiros incomportáveis, como o BeWelcomer ou o Couchsurf – muito divulgado em todo mundo. A ideia é visitar a cidade de Berlim, de bicicleta, sem os custos do aluger. ‘Two Wheels Good, Free Wheels Better’. Este projeto promove uma cidade mais verde e saudável, evita o despojo de bicicletas que são substituídas por outras, e, sobretudo, alimenta a ideia de que um sistema baseado numa confiança mútua, resulta e traz vantagens para todos. O projeto angaria as bicicletas apenas através de um sistema de doação e as pessoas que o promovem, sustentam o seu funcionamento também através de doações feitas pelos clientes que acedem ao serviço, ou de outras entidades ou indivíduos, que, não tendo necessidade de fazer uso do BikeSurfBerin, apoiam a ideia de uma cidade mais ecológica e amigável. As bicicletas que, de outra forma, iriam para o lixo, podem ser aproveitadas de uma forma muito simples. Esta ideia é facilmente replicável a qualquer cidade europeia ou numa outra parte do mundo.

Repair Café Este projeto holandês usa de uma filosofia muito simples e de grande responsabilidade social e ambiental. Em todo o mundo ocidental vive-se de uma forma irresponsável, de uso descartável em relação a quase tudo o que nos rodeia. Queremos mais e melhor e facilmente substituímos por algo novo, mais recente, nem sempre mais vantajoso. A questão prende-se não só com a ideia da necessidade de algo novo e de mais coisas, mas também com a ideia de que o velho se torna obsoleto. Este conceito aparece não só em relação aos objetos dos quais fazemos uso, mas também estendemos muitas vezes isso para as pessoas que nos rodeiam. Este projeto pretende contrariar estas duas ideias. Por um lado criando um espaço e as condições de reparação de qualquer coisa que precise de ser reparado; por outro lado, dando oportunidade às pessoas que possuem os conhecimentos necessários, possam por em prática os seus conhecimentos em benefício dos outros. Neste espaço de cafetaria, em determinados dias, as pessoas podem trazer o que tiverem para arranjar - móveis, bicicletas, pequenos electrodomésticos, roupas, brinquedos, etc. -, e podem obter a assistência de vários técnicos especializados que se dispõem a ajudar e a orientar nesses arranjos. Eletricistas, mecânicos, costureiras, etc. A ideia prende-se essencialmente com uma mudança de mentalidade, de forma de atuação perante os hábitos de consumo atuais e perante o nosso desconhecimento face a algumas matérias. Reduzir o consumo, reparando o que já possuímos de forma a que possa ser reutilizado, ou usado por mais uns anos, é reduzir no desperdício que leva ao lixo e a emissão de CO2 no planeta. Olhar para os objetos que possuímos com novos olhos, permite a organização de uma sociedade mais responsável e sustentável em termos não só ambientais, mas também económicos e familiares. Enquanto estas sessões ocorrem, pode ser saboreada uma chávena de chá ou um café. Para além de juntar pessoas, permite que todos se ajudem em termos de comunidade e também, que entendam que afinal, não é assim tão complicado arranjar o que quer que seja. Acabamos todos muito mais competentes e melhorados. (See as well Repair Café in Brussels)

Circul-livre Este projeto, implementado em Paris, tem dois objectivos principais: promover a leitura e a coesão social. A ideia é pôr a circular os livros que já foram lidos, que já não se desejam mais, que estão parados nas prateleiras de estantes em casa e partilhar com os residentes da cidade. Com uma circulação de 30 mil livros por ano, a iniciativa conta com a participação de muitas pessoas que passam pela rua, onde os livros estão expostos, e que não são necessariamente pessoas que frequentam livrarias ou bibliotecas. Os livros circulam livremente, trazidos por pessoas ou entidades, sendo postos à disposição de todos os habitantes após lhes ter sido carimbado o logótipo da operação Circul’Livre. Sem inscrições prévias, de forma totalmente gratuita, sem a obrigação de devolução, os participantes têm só d escolher e levar com eles os livros que lhes interessem e que estão postos para serem levados e de os porem a circular, neste ou noutro sistema de circulação. Esta iniciativa tem também como contribuição colectiva, a de retirar as pessoas do isolamento em que vivem. Os livros a circular ganham também um destino novo, uma reutilização.

Streetbank Esta iniciativa, que ganhou vida em Inglaterra, está agora espalhada por várias partes do mundo e resume-se à criação de um site de internet que permite verificar, a uma distância de cerca de 1.5 km de onde se está, uma série de objetos, ferramentas, competências e outras coisas que se encontram disponíveis para serem usados pela comunidade. Para resumir, trata-se de ajudar um indivíduo a partilhar e poder pedir emprestado coisas de outras pessoas que vivem na mesma comunidade ou bairro e que, de outra forma, nunca terias tido a oportunidade de conhecer. A ideia é, não só gastar menos e dar mais uso aos recursos já existentes, mas também trabalhar num projeto de comunidade ativa, porque se acredita que, partilhando, as pessoas não só poupam dinheiro, como contribuem para o ambiente, evitando o desperdício. Esta iniciativa faz todo o sentido no contexto que se vive atualmente. Permite que as pessoas se envolvam na sua própria comunidade, que se comprometam, voluntariem num espírito de generosidade. Faz como que as pessoas procurem localmente soluções para as suas necessidades, o que faz todo o sentido em termos ambientais. Ajuda também a que se reutilize os recursos existentes e que o uso destes seja optimizado, o que poderá ajudar a uma menor necessidade de consumo global. Num bairro com cerca de 100 casas, uma escada que pode eventualmente ser usada uma vez por ano por cada uma delas para limpar uma chaminé – por exemplo, será muito provavelmente suficiente para todos, em vez da necessidade de existência de uma escada por cada casa. Partindo do princípio que todos participam de uma forma correta de com uma base de confiança, o projeto funciona bastante bem, em vários pontos de Inglaterra e tem conseguido financiamento para sustentação por parte de algumas fundações, dinheiros que permitem a gestão dos recursos e do site, ou a reparação ou substituição de alguns objetos.

Green Cork As rolhas produzidas com cortiça são essenciais ao vinho, mas o que fazer com elas depois de abrir a garrafa. O vidro segue para reciclagem. E a rolha de cortiça? As rolhas, sendo um produto 100% natural não poluem o ambiente se acabarem no lixo, no entanto elas podem e devem ser recicláveis e reutilizadas, para que se obtenha um impacto positivo do ponto de vista da sustentabilidade. O projecto Green Corck, responsabilidade do grupo empresarial Amorim, em Portugal, foi criado em parceria com a Quercus, associação ambiental portuguesa, no sentido de encontrar uma solução para a reciclagem das rolhas de cortiça. Desde 2008, altura do arranque da iniciativa, foram recolhidas e recicladas dezenas de milhões de rolhas por todo o mundo, com a parceria de supermercados, aeroportos, caves, restaurantes, escolas, escuteiros, agrupamentos e sommeliers espalhados pelo mundo. O gesto é simples, o da recolha, depois tem de haver um tratamento em que são tratadas e trituradas para serem transformadas em granulados e voltarem a ser matérias-prima. Embora nunca mais seja incorporada em rolhas, a cortiça reciclada pode integrar isolamentos, revestimentos, kayaks de alta competição, raquetes de badminton, bolas de ténis e de cricket, componentes de automóveis e aviões, peças de design e de moda e uma multiplicidade de outros fins que podem ser ou não industriais. Nos EUA e no Canadá, por exemplo, as rolhas arrecadadas ao abrigo de um programa que tem por nome ReCORK America, destina-se exclusivamente ao fabrico de sapatos com a parceria de uma empresa canadiana de nome SOLE. Em Espanha, a associação ADISANVI (www.reciclascorchoreciclasvida.blogspot.com), recolhe as rolhas para posterior utilização em trabalhos manuais realizados por deficientes. Na Austrália, as rolhas são recolhidas por um grupo de escuteiras Girl Guides (www.guidesaus.org.au), que angariam cerca de 30 toneladas anuais para reciclagem. Na Alemanha existem diversas entidades e empresas que fazem a recolha das rolhas para reciclagem, de forma a garantirem também alguma ajuda social para determinadas organizações (www.kork.de/wsuak_recycling.htm), (www.nabu.de/m07/m07/_02/04207). Na Bélgica (www.users.swing.be/petit.liege) Em Itália, para além do cariz ambiental de que se revesta a recolha das rolhas usadas, por cada tonelada de rolhas recolhidas, são doados mil euros à sociedade civil, através de organizações sem fins lucrativos e da parceria com uma construtora de edifícios energeticamente eficientes.

Em Portugal há algumas iniciativas que se dedicam à recolha de rolhas para reciclagem ou transformação, que geralmente revertem os benefícios a favor de instituições de solidariedade sociais, através dos lucros obtidos pela sua venda. As verbas resultantes da reciclagem das rolhas de cortiça são igualmente canalizadas para associações ambientais nacionais, com o objectivo de financiar a reflorestação de bosques autóctones.

As rolhas de cortiça, que fixam partículas de CO2, que herdaram da casca do sobreiro – uma árvore que tem uma importantíssima capacidade para reter este gás responsável pelo efeito de estufa no planeta. Se forem decompostas ou incineradas, juntamente com outros lixos, voltam a libertar o CO2 nelas contido, para a atmosfera. Em cada tonelada de rolhas de cortiça, estima-se cerca de 1,07 toneladas de CO2. Se forem recicladas ou reutilizadas, a matéria assegura para sempre a capacidade de retenção do CO2 nelas armazenado, porque a reutilização desta matéria-prima é ilimitada.

Reference models/modèles de référence

Au sein de la Plateforme Multiacteurs locale sont discutées et accordées entre tous les modalités de traitement et réutilisation systématique des déchets. Le déchet est pris ici dans un sens large, incluant tout objet matériel qui n'est plus utilisé (y compris donc des vêtements, médicaments, etc. dont ceux qui les possède n'ont plus l'usage). Les règles suivantes sont débattues et accordées le plus largement possible.

  1. La première règle de coresponsabilité dans le traitement des déchets est la réduction de leur volume. Essa atitude, a mais responsável e consciente de toda, a mais equilibrada na verdade, é também a mais difícil de executar num mundo industrializado e moderno, numa sociedade que conspira para consumirmos o mais possível. O que se torna um contrassenso – por um lado caminhamos para um equilíbrio ambiental de respeito pelos recursos existentes, por outro lado apelamos a que se gaste, se esbanje e se obtenha. Cria-se a ideia de necessidade onde ela não existe de facto. Esse é o grande desafio da sociedade atual e futura – educar indivíduos que procurem em si mesmos a felicidade e o contentamento e não no consumo desenfreado. Não se trata de comportamentos, mas também de valores. A realização não advém do consumo. Pour parvenir à ce changement d'attitude la réflexion sur le sens du bien-être de tous avec les citoyens (deuxième cycle de SPIRAL) est essentielle.
  2. La deuxième règle est le respect de l'ordre de priorité de traitement des déchets. Un déchet est en priorité: 1) remis en circulation auprès d'autres utilisateurs; 2) restauré ou réparé si c'est encore possible, avant sa remise en circulation ; 3) transformé pour une utilisation différente 4) démonté puis décomposé en matières de base recyclées : verre, plastique, bois, etc. ; 5) utilisé pour produire du compost 6) utilisé pour la production d’énergie (méthane, centrales thermiques à cycle combiné). Pour la mise en place de cette règle plusieurs "cercles de traitements" sont mis en place:
    1. Le premier cercle est celui des collecteurs/redistributeurs d'objets non utilisés, soit spécialisés (voir l'exemple du Magasin des vêtements de l'association Caixias au Portugal ou les pharmacies sociales en Grèce pour les médicaments) soit non spécialisés (voir l'exemple du Magasin pour rien de Mulhouse en France). Ces collecteurs/ redistributeurs reçoivent les objets non utilisés, les remettent en circulation aux pesonnes qui ont besoin ou les envoie au deuxième cercle des réparateurs, voire le troisième des trieurs/recycleurs. Il est possible d'assurer l'équilibre financier, incluant la création d'un ou plusieurs emplois, en revendant les objets à un prix symbolique (voir l'exemple de l'association Caxias qui revend les habits à 1€) ou à un prix plus élevé permettant d'inclure le coûts de réparation des objets qui sont passés par le deuxième cercle (voir l'exemple de ...... à Strasbourg).
    2. Le deuxième cercle est celui des réparateurs. Outre le fait qu'ils réparent les objets qu'ils reçoivent ceux-ci aident les habitants à réparer eux-mêmes leurs objets et à apprendre à le faire, en participant aux ateliers de réparation ( voir l’exemple des café repair)
    3. Le troisième cercle est celui des trieurs. Un premier tri entre matière organique, emballage plastiques, verre, métal, gros objets est réalisé par les habitants pour tous les déchets qu'ils ne peuvent envoyer au permier ou deuxième cercle. A la réception des déchets en ressourcerie un nouveau tri est réalisé entre objets éventuellement réparables et envoyés au cercle des réparateurs, matière organique pour composts et tout le reste. Celui-ci est proposé à des associations pour leur réutilisation (voir le projet remix). S’ils ne sont pas repris ils sont démontés pour récupérer les pièces récupérables (pièces de voiture, petites pièces métalliques, visses, écrous, etc.) puis décomposés en matières recyclables et matière génératrice d’énergies. Les pièces récupérables sont stockées en ressourcerie et mises à disposition des réparateurs et du public en général pour des activités de réparation ou bricolage.
    4. Le quatrième cercle est celui des recycleurs. Il s'agit d'unités de traitement relativement importantes et spécialisées
    5. Le cinquième cercle est celui des composteurs le compostage peut être organisé collectivement au niveau d'un quartier pour un jardin partagé (voir exemples...)
    6. Le sixième cercle est celui des producteurs d'énergie (méthane ou électricité et chaleurs par combustion en centrales thermiques à cycle combiné)
  3. Troisième règle: tous les produits achetés ont des emballages facilement réutilisables et recyclables. Une charte est élaborée dans ce sens, signée par tous les producteurs. Une assistance technique est mise en place pour que tous les producteurs y parviennent
  4. Un système de communication est instauré pour que tous les acteurs et habitants comprennent le fonctionnement du tout et puissent mieux y participer.
  5. Tous les emplois créés sont assurés en priorité par des emplois d’insertion (entreprises d’insertion) puis d’installation des demandeurs d'emploi en difficulté d'obtenir un emploi.

New experimentations to be developed/ Nouvelles expérimentations à réaliser

Supports for exchanges/transfers/ Appuis aux échanges et transferts

a. Identificação das possibilidades existentes a nível de matérias desperdiçadas; Identificação das necessidades existentes na comunidade; Identificação dos recursos existentes em excesso na comunidade. b. Identificação dos atores e dos intervenientes da ação. c. Sistema de recolha ou entrega dos recursos encontrados para reutilização, re-criação, transformação, reparação. d. Seleção e avaliação da matéria, 1º diagnóstico (atribuição de um valor; definir destino; controlo de qualidade existente; tomada de decisão em relação ao modo de atuação necessário e o destino a ter em conta). e. Processo de transformação de um novo valor (transformação/reutilização/dirigir a novo utilizador/reparação/separação em peças) f. Destino (venda/entrega/uso)


Dernière modification de la page : Jeudi 03 juillet 2014 07:19:28 UTC
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